L'absence des canalisations d'assainissement au quartier (
Hay Assalam-Larache) ne permet pas une bonne évacuation des eaux usées et pluviales.
Lors des pluies, les caniveaux ainsi que les zones basses du quartier sont inondées.
Ces eaux créent des rigoles et des crevasses qui, par la suite sont transformés en dépotoirs sauvages.
L'absence de système d'assainissement collectif,et cela depuis 1993 (réseau d'égout) à Hay Assalam constitue une entrave pour la gestion adéquate des eaux usées.
Dernierement, la population a été obligée de creuser des latrines et des fosses septiques (devant la Grande Mosquée) non adaptées aux normes requises. Cela pourrait souiller la nappe souterraine et constituer une menace grave pour la santé de la population. Ces espaces deviennent donc sources de maladies et de développement des vecteurs et agents pathogènes (mouches, moustiques, rongeurs,...).
La problématique de l'insalubrité est devenue une réalité incontournable dans notre quartier qui s'écroule peu à peu sous le poids considérable des déchets ménagers solides et liquides et se caractérise par un environnement de plus en plus malsain et insalubre. Pourtant, la gestion des eaux usées et pluviales sont des services de base important au sein d'une communauté, mais de moins en moins bien assuré, ce qui pose de graves problèmes d'insalubrité, d'hygiène et de santé.
Tous ces facteurs entraînent donc la dégradation du cadre de vie des populations
Depuis 1993, Les eaux usées des maisons particulières et collectives à Hay Assalam (Larache) n'ont pas de canalisations ni d'assainissement. Un engorgement s'este formé, il faut mener au plus vite une opération de débouchage de ces canalisations pour la bonne évacuation des eaux usées.
- la canalisation du quartier n'est pas reliée à la canalisation principale de laville pour faciliter son evacuation sur la mer.
- les responsables (Ne sont pas là)
Droit à la vie, droit à l'eau et à l'assainissement La négation de ce droit doit être interprétée comme la négation du droit à la vie et à une citoyenneté pleine et entière.
En garantissant les droits à la vie, à l'eau et à l'assainissement, on améliore la santé et le bien-être de tous les citadins, pour qu'ils puissent contribuer au développement économique et social de leur ville.